Investir en bourse en 2020 : choisir les biotechs et les produits dérivés

Investir en bourse en 2020 : choisir les biotechs et les produits dérivés

Non

Lorsque l’on dit que toute situation, aussi horrible puisse-t-elle être, a ses bons côtés ; c’est tout à fait vrai. Pour exemple, la crise du coronavirus. Elle nous a obligés à ouvrir les yeux sur les dangers et les besoins au niveau santé. Et elle a aussi permis au biotechs de progresser de 233 % en moyenne sur le premier trimestre. Aussi, les CFD sur les indices boursiers ont aidé les marchés financiers à retrouver un peu de leur panache.

Des statistiques éloquentes

Bien qu’il soit vrai que les marchés ont connu un moment de frayeur réel en début d’année, certains secteurs ont été plus épargnés que d’autres. C’est le cas de nombreuses biotechs qui ont vu le prix de leurs actions décoller. Les statistiques ne laissent place à aucun doute. Les chiffres d’Euronext et de Biotech Bourse démontrent une augmentation de près de 70 % pour les 61 entreprises cotées dans ce domaine sur Euronext. Pour mieux comprendre ce chiffre, on peut le comparer à l’Euro Stoxx 50 qui a, lui, reculé de près de 20 % sur la même période. Notons que les sociétés françaises ont particulièrement bien progressé à un peu plus de 85 % ainsi que les sociétés norvégiennes à un taux similaire.

De leur côté, les CFD sont venus booster tous les marchés financiers par l’entremise de ceux basés sur un sous-jacent des indices boursiers internationaux qui se sont envolé grâce à un coup de pouce des places financières américaines. Cela a permis à tous les investisseurs de respirer un peu mieux à travers le monde. Pour en connaître plus sur les CFD, comment les acheter ou les vendre, cliquez ici. En même temps, renseignez-vous sur la gamme de produits dérivés boursiers offerts à tous les investisseurs, mais parfois plus méconnu que l’achat d’actions simples.

Toutes les bourses ne sont pas égales

Alors que les biotechs françaises et norvégiennes affichaient des augmentations à faire rougir d’envie toutes celles qui dégringolaient ou qui parvenaient difficilement à se maintenir, celles d’autres pays européens ne faisaient pas nécessairement aussi bien au même moment. C’est le cas, entre autres, à la bourse de Bruxelles où les biotechs belges affichaient un manque à gagner en moyenne de 1,5 %. Et bien que cela puisse paraître important, en comparaison à la croissance française et norvégienne, cela demeure tout de même satisfaisant face aux biotechs néerlandaises qui ont chuté de plus de 17 %. Et bien que le coronavirus ait joué une part importante dans l’effet de croissance, celles qui ont investi dans la recherche en général sont aussi celles qui sont sorties la tête haute une fois la crise passée.